sd.kfz 222 leichter panzerspähwagen 4x4 de la 24e Panzerdivision en Russie - juillet 1941

Le Sd.Kfz. Le 222 est le deuxième d'une série de véhicules de reconnaissance légers conçus pour répondre aux exigences opérationnelles, notamment la fiabilité, la capacité de fonctionner avec une variété de qualités de carburant, une construction simple et de bonnes performances hors route, le premier de la série était le Sd.Kfz . 221. Ce type s'est avéré trop petit et trop légèrement armé, de sorte qu'en 1936-1937, une version plus lourde a été prévue, utilisant l'un des deux châssis standard pour les véhicules blindés à quatre roues. L'un d'eux utilisait un moteur monté à l'avant, l'autre à l'arrière. Ce dernier a été utilisé dans le Sd.Kfz. 222, qui est devenu la voiture blindée légère standard du service militaire allemand jusqu'à la défaite de l'Allemagne nazie. 

 Les châssis ont été construits par Horch (Auto Union) à Zwickau et assemblés par F. Schichau d'Elbing et Maschinenfabrik Niedersachsen à Hanovre-Linden.

Les véhicules ont été développés par Eisenwerk Weserhütte de Bad Oeynhausen en utilisant le châssis de la voiture tout-terrain standard de type Horch 108 avec une carrosserie et une tourelle blindées inclinées.

 

 
Le moteur à essence monté à l'arrière était à l'origine un V8 Horch de 3,5 litres avec 75 ch (55 kW; 74 ch) (châssis Ausf. A); à partir de 1942, il a été remplacé par un 3,8 litres avec 90 ch (66 kW; 89 ch) (châssis Ausf. B), ce qui lui donne une vitesse sur route de 80 km / h (50 mph) et une vitesse tout-terrain de 40 km / h (25 mph). Il avait une portée maximale de 300 km (186 mi).
 

Utilisé par les bataillons de reconnaissance (Aufklärungs-Abteilung) des divisions Panzer, le type s'est assez bien comporté dans les pays disposant de bons réseaux routiers, comme ceux d'Europe occidentale. Cependant, sur le front de l'Est et en Afrique du Nord, cette classe de véhicules a été entravée par ses performances hors route relativement médiocres.

 Le Sd.Kfz. Le 222 était équipé d'un armement plus lourd et d'une tourelle plus grande que le Sd.Kfz. 221 mais il était encore relativement à l'étroit et manquait d'une protection supérieure autre qu'un écran métallique conçu pour permettre aux grenades de rouler, mais cela rendait l'utilisation de l'armement principal problématique. Montées de manière coaxiale avec la mitrailleuse, les deux armes étaient montées sur pivot et équipées d'un mécanisme d'élévation et de traversée et de mécanismes de tir au sol. La tourelle était entraînée en rotation par les armes de déplacement plutôt que par le fait que les armes étaient fixées à une tourelle de déplacement. Il n'y avait donc pas de bague d'appui ni de panier de tourelle, seulement un compartiment de combat largement obstrué par les brèches des armes.

Lorsque les limites du véhicule ont été mises en évidence lors de l'invasion de l'Union soviétique en 1941, le Sd.Kfz. Le 222 fut progressivement remplacé dans le rôle de reconnaissance par le Sd.Kfz. 250 semi-chenille, mais la tourelle et l'armement du Sd Kdz 222 ont parfois été conservés malgré ses défauts (la variante Sd.Kfz.250 / 9 était un Sd.Kfz.250 équipé d'une plaque supérieure surmontée de la même tourelle utilisée pour le Sd.Kfz 222 avec les mêmes canons montés sur tétines remontés sur la demi-voie) [1] et les Sd.Kfz 222 capturés ont été examinés par des concepteurs soviétiques avant de créer la même voiture blindée légère BA-64.
 

L'avant et les côtés étaient en RHA de 8 mm (0,3 po); des plaques plus minces de 5 mm (0,2 po) protégeaient le haut, l'arrière et le bas. Les ports de vision en fonte ont ensuite remplacé les ports coupés dans l'armure. La tourelle à toit ouvert était équipée d'écrans anti-grenade en treillis métallique. À partir de 1939, le blindage avant a été porté à 14,5 mm (0,6 po). En 1942, l'Ausf. Le châssis B a été introduit; celui-ci avait 30 mm de blindage frontal, ainsi qu'un moteur plus puissant.